Il y a eu un temps où à cause du système des religions recettes, les orthodoxes n'avaient pas le droit de bâtir des églises. C'est pourquoi l'église de la Sainte Trinité est placée dans la cour intérieure d'une maison située Rue Cailor. Plus précisément, après de nombreuses interventions les autorités de Brasov permettent la transformation d'une maison saxonne en église, mais sains permettre le dressement d'une tour et sans permettre de cloche. Beaucoup de temps les offices ont été tenus en Roumain et en Grec, mai 1789 les commerçants grecs ont revendiqué cet établissement. Les Roumains n'ont pas pu obtenir l'église jusqu'en 1942 quand les Grecs ont quitté la ville. Ce n'est qu'après plus de 100 l'église revient aux orthodoxes roumains.
À l'intérieur vous serez plaisamment surpris par les peintures, par les icônes peintes sur toile du XVII-XVIIIème siècle mais aussi par l'iconostase de 1855. Vous devez impérativement contempler l'icône vénitienne de 1633 et l'Évangile grecque dont le couvert a été fabriqué par le bijoutier de Constantin Brancoveanu en argent doré. Dans le petit cimetière derrière l'église sont enterrés des membres de la famille Brancoveanu , des membres de la communauté grecque de Brasov et le Métropolite de l'Ungro-Valachie, Dosoftei. Même si la vue de cette église a été obturée par les bâtiments qui l'environnent, tous les croyants orthodoxes peuvent écouter le service divin en tranquillité pour trouver leur équilibre interne dans l'église de la Sainte Trinité.