Dans la deuxième étape on a dressé les tours et encore deux niveaux de galeries. Une construction imposante ayant rôle de bélvédère qui veillait à la protection du coin sudique offrait la posibilité de superviser la région entière. Cela démontre la rigueur du savoir des chevaliers-constructeurs de l'époque, représentant un solide bastion de la résistance. Sur la tour d'observation on peut appercevoir deux années: 1573 - l'année de la construction proprement-dite et l'année 1750, l'année dans laquelle on a restauré le bastion, après son écroulement qui a eu lieu en 1710. L'accès au monument se fait par la Rue George Cosbuc par une porte fortifié d'une tour et en parcourant un couloir long de 5 mètres. La superficie fermée entre les mûrs du bastion est de 1616 mètres carés. À leur base, les mûrs ont une épaisseur de 3 mètres et 1,5 mètres dans leur partie supérieure.
Le Bastion des tisserands accomplissait des différentes fonctions, parmi lesquelles celle de dépôt pour les documents de la guilde. Le bastion devient après la restauration de 1910, musée. Si vous n'être jamais allé dans une salle d'opéra, le moment est venu d'entendre des pareils spectacles dans la cour intérieure, cela surtout grâce à l'acoustique spéciale de la construction. La propagation du son est particulièrement influencée par les galeries en bois existant sur les parois intérieures. C'est une première - celle d'utiliser un tel monument comme scène en air libre pour des différentes représentations culturelles. À la fois musée (Musée du Pays de Barsa), dans le bastion des tisserands il y a deux salles qui abritent une exposition qui offre à la contemplation des objets rangés en vitrines ou non.
Dans les lignes suivantes nous allons parcourir un court trajet qui vous présentera ce que vous pouvez trouver dans la première chambre: des dates documents attestés et des matériaux tridimensionnels qui proviennent des recherches archéologiques sur le système des fortifications du Pays de Barsa avant le XIV siècle. Des fragments d'armures, des chemises en fer ou des armes blanches sont exposés dans des vitrines. Une pièce de résistance est l'épée pour deux mains découvertes au XIIIème siècle dans la cité de Brasov. La deuxième salle d'exposition est pleine de vitrines dans lesquelles on a exposé des différentes armes, mais aussi des images de Brasov, réalisées d'après des vieilles gravures. Il y a aussi une maquette en gypse policromé de Brasov et de Schei faite d'après une stampe de 1896 par le professeur Friedrich Hermann. Il est nécessaire de visiter ce que les spécialistes nomment "la mieux conservée et unique fortification de ce type du pays", mais aussi le cadre architectural spécial qui sert à la présentation des différents spectacles et concerts.